Resumo

KAY, Rachel Chan Suet. Esthetique de la super-diversite: le batiment du clan ancestral cantonais en tant que plateforme d’integration sociale. Finisterra [online]. 2020, n.113, pp.45-62. ISSN 0430-5027.  https://doi.org/10.18055/Finis17553.

Dans le but de développer les villes sur le long terme, le débat est de savoir s’il faut conserver des éléments de la culture ou réinventer de tels espaces pour de nouveaux usages. La préservation du patrimoine culturel devient donc un problème dans la planification urbaine. Les sites et bâtiments patrimoniaux sont actuellement menacés par le nouveau développement urbain, en particulier dans les pays en développement, y compris la Malaisie. Néanmoins, il y a ceux qui plaident pour la préservation de l’identité locale face au développement urbain. Ils affirment qu’il existe dans le centre-ville de Kuala Lumpur des zones riches en diversité d’identité et qu’il conviendrait de les rendre plus visibles. Cet article utilise l’étude de cas de Chan See Shu Yuen, une association de clans ancestraux cantonais d’importance historique et qui abrite un patrimoine culturel matériel et immatériel au cSur de Kuala Lumpur. En utilisant une méthode mixte associant des entretiens, enquêtes, analyse de contenu, photographies et vidéographie, on décrit comment l’association de ce clan accroît la cohésion sociale grâce à ses fonctions continues de valeur esthétique et d’attraction touristique. Cela plaide en faveur de la préservation continue des bâtiments et des pratiques historiques, malgré les changements sociaux globaux tels que la super diversité.

Palavras-chave : Villes et culture; patrimoine culturel; super-diversité.

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